Richard Trager

Richard Trager
Informations biographiques
Mort	17 Septembre 2013
Description Physique
Sexe	Homme

"Hey, you're that little shit priest's guy aren't you? His... witness or whatever. You must be exhausted. Let's take a break, huh, buddy? The old two martini lunch, have a little confab.
(Hey, tu es le type de ce petit merdeux de prêtre, pas vrai? Son... témoin ou je ne sais quoi. Tu dois être épuisé. Si on faisait une pause, hein ? Un petit repas d'affaire, tout ça.)"

― Richard Trager

Dr. Richard "Rick" Trager est un Variant qui expérimente sur des patients pour en apprendre plus sur la biologie et l'anatomie humaine.

Background

Plusieurs documents trouvés le long du jeu suggèrent qu'avant de devenir complètement fou, Richard Trager travaillait dans la division Biologie de Murkoff. Son rôle était d'apprendre la biologie en menant des expériences douteuses sur les patients. Par ailleurs, il faut noter que dans ses notes Miles dit de Trager que celui-ci parle comme "ces connards sortis d'une école de commerce", allant même jusqu'à parier ses doigts restants que "Trager faisait partie de la direction de Murkoff jusqu'à ce que le truc qui a infecté cet endroit le transforme".

Caractéristiques

Trager, un peu comme le reste de la population de l'asile, est empris de psychose schizophrénique, un sadique et un meurtrier, mais son habilité mentale et physique prouve que malgré ses dires et ses actions, il entretient une notion de la réalité, même si quasi-inexistante, ce qui le rend plus apte à réfléchir, planifier, et d'autres choses comme leurrer Miles Upshur afin de le faire monter dans le monte-plats dans le but d'en faire son cobaye (il est possible que Trager fasse de même pour ses autres victimes).

De plus, il est capable de débattre de manière intelligente et cohérente (ce qui est semblable à Eddie Gluskin), s'exprimant sur un ton amical avec Miles, le référant à son "pote" de manière presque dérisoire. Il pense être un chirurgien reconnu, ayant une habitude de collectionner une partie du corps de ses "patients", par exemple; la langue de l'un d'entre eux car il était "fatigué de lécher ses propres enveloppes", ainsi que l'index droit et l'annulaire gauche de Miles afin de les revendre.

Histoire

Outlast

Poursuivi par un groupe de Variants, puis cerné dans une pièce, Miles Upshur n'a d'autre choix que de monter dans un vide-ordure, une voix l'invitant à y pénétrer. En réalité, la voix qui conseillait à Miles d'y monter n'est autre que celle de Richard Trager, affublé d'un simple tablier et d'une paire de lunettes usée. Si vite arrivé à l'étage supérieur par le vide ordure, Miles est assommé par son hôte. Profitant de cette confusion, celui-ci attache alors Miles à une chaise. Richard Trager mène ensuite son prisonnier, traversant plusieurs couloirs et menant la conversation d'un ton tantôt cynique, tantôt glaçant. Peu de temps après, la destination est atteinte et Miles découvre contre son gré une salle abritant instruments de chirurgie et autres restes de chair humaine.

C'est avec horreur que Richard Trager, après quelques instants de discussion, brandit de larges ciseaux et s'en sert pour couper un doigt par main à Miles, terrorisé et écœuré. Les doigts coupés, Miles profite de l'absence momentanée de son bourreau pour fuir. Discrétion et furtivité sont de mises pour échapper au psychopathe. Après de multiples manœuvres, Miles parvient enfin à s'enfuir en utilisant les clés de l'ascenseur précédemment récupérés. Malheureusement, Richard Trager parvient à intercepter l'ascenseur un étage plus bas et tente d'exécuter Miles. Ce dernier résiste tant bien que mal et réussit à le repousser, non sans une légère coupure. L'ascenseur descend un peu plus bas et écrase Richard Trager, qui avec terreur et surprise, meurt subitement.

Outlast: Whistleblower

Lorsque Waylon traverse l'Aile des Hommes, la cadavre de Trager peut être aperçu à côté de la Division Tactique de Murkoff, après que ces derniers ait retiré son corps de la cage d'ascenseur, le prenant pour une victime de l'asile, en voyant son corps mutilé, en déduisant qu'il fut molesté.